
Pour illustrer les articles consacrés au Japon, les magazines ont abandonné les geishas et les lutteurs de sumo (même si certains continuent à y faire référence) au profit de la jeunesse nippone dont les tenues vestimentaires attirent le regard. "Indubitablement, les jeunes ‘s’exp(l)osent’ sans se poser la question du lendemain comme des papillons sortant de leurs tristes chrysalides", confirme Antoine Kruk dans son livre Look at me Tokyo. L’auteur y dépeint la ville, mais surtout ses habitants, "ces âmes vagabondes" comme les qualifie le...
