L'heure au Japon

Parution dans le n°70 (mai 2017)

Allez-vous continuer à vivre à Kumamoto ? T. K. : Je m’interroge. Après cette catastrophe, si je quitte la ville, il se peut que cela déstabilise ma famille. Moi-même, j’ai perdu ma maison et j’ai dû m’installer dans un autre logement. Il me faut de l’énergie pour bouger encore. J’y reste pour le moment. Cela n'est pas une gêne pour mon travail. A l’avenir, Tôkyô est une destination possible comme Paris où je pourrais vivre tant que je suis jeune. Pour finir, comment souhaitez-vous que votre dernier recueil publié en France Le dernier envol du papillon soit reçu par le public français ? C’est une histoire de geisha, mais à mes yeux, ce n’est pas son métier qui est au cœur du récit… T. K. : Avec cette geisha qui est une femme fatale, je voulais créer une histoire qui dévoile à ...

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