
Après s’être principalement intéressé aux films de l’âge d’or du cinéma japonais, c’est-à-dire celui des années 1950, on découvre petit à petit des chefs-d’œuvre plus anciens réalisés par Ozu ou encore Kurosawa dont plusieurs moins connus sortiront cet automne. Mizoguchi Kenji n’échappe pas à cette règle et on ne peut que se féliciter de l’initiative de Carlotta qui propose Contes des chrysanthèmes tardifs (Zangiku monogatari) réalisés en 1939. A cette époque, le cinéaste venait de tourner Roei no uta (Le...
