
“La plupart des propriétaires de machikôba à Mizunami sont des artisans qui dirigent leur propre petite entreprise. Les gens comme mon père sont des artisans avant tout. Ils connaissent leur métier, et savent faire de bons produits, mais ils ont encore beaucoup à apprendre en ce qui concerne la gestion d’entreprise. Ce n’est pas facile d’attirer de nouvelles personnes en provenance d’autres régions du Japon. Il faut être plus actif dans ce que l’on fait et s’assurer que le message atteint réellement la cible prévue. C’est pourquoi ils ont besoin d’un soutien extérieur, que ce soit le bureau préfectoral ou des agences de relations publiques comme la mienne”, explique-t-elle. Parmi les nouvelles façons de...
