
“En 2006, la rencontre fortuite d'un salaryman dans la forêt de Kawaguchiko me suggéra l'existence d'un univers parallèle au monde de l'entreprise japonaise. Sans tarder, j'arpentais les rues de la capitale armé d'un appareil photo compact, bien décidé à découvrir - ou à inventer - une autre facette du stéréotype de l'homme de bureau. Le souci de protéger l'identité de mes modèles involontaires et de témoigner de la sensibilité japonaise au cycle des saisons tendent à faire fleurir mystère et poésie dans l'agenda bien rempli de ces travailleurs”, explique Bruno Quinquet qui vient de...
