L’Organisation mondiale de la santé (OMS) publie une étude selon laquelle les risques de cancer ont augmenté de 4 % par rapport aux taux normaux dans les zones les plus contaminées. Mais pour Greenpeace, “le rapport de l’OMS sous-estime honteusement l’impact des premières radiations sur les personnes présentes à l’intérieur de la zone d’évacuation”.