On risque moins de se faire voler son porte-monnaie dans le train ou le métro japonais que de subir une main aux fesses quand on est une femme. Le chikan, comme on dit là-bas, se porte bien. Une récente étude montre que 13 % des passagères ont subi ce genre de situation. Dans 89,1 % des cas, elles n’ont rien dit et ne se sont pas plaintes à la police.
A lire aussi
Découverte Nara et Kyôto, côté cuisine (1/2)
2 mai 2016
Nous, les lycéens d’Ishinomaki
1 septembre 2014
Faire connaissance, rien de plus simple
1 février 2011