Le séisme du 11 mars 2011 a provoqué de nombreux traumatismes. Il a provoqué chez certains un réveil salutaire. C’est peut-être le cas pour Maïa Barouh dont le nouvel opus Kodama (qui signifie “écho”) est un retour aux sources, celles du folklore japonais riche mais un peu oublié. Pour la fille de Pierre Barouh, cet album est une nouvelle expérience qui nous entraîne dans des univers sonores riches et agréables. A découvrir également sur scène le 6 mars à la Maroquinerie dans le 20e à Paris.
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