Si le Sanja matsuri dans le quartier d’Asakusa (voir pp. 10-12) fait partie des trois grands festivals de la capitale, cela ne signifie pas pour autant que les autres quartiers de Tôkyô ne connaissent pas leur fête. En témoigne le Hikawa matsuri dans l’arrondissement de Shibuya. Même s’il est moins impressionnant, il illustre néanmoins l’enthousiasme de la population pour ces moments de liesse collective.
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