Le gouvernement Abe a autorisé les forces japonaises déployées au Soudan du Sud à défendre des camps de l’ONU en cas d’attaque par des insurgés. Jusqu’à présent, les soldats ne pouvaient utiliser leurs armes que pour se défendre. Il s’agit d’une première depuis l’adoption, en septembre 2015, d’une législation controversée sur la sécurité nationale, qui a étendu le rôle des forces armées à l’étranger.