Malgré les promesses et les engagements des autorités d’accorder plus de places aux femmes dans la vie politique, seulement un candidat sur cinq parmi les 1 180 en lice lors des élections du 22 octobre appartenait à la gent féminine. Et au sein du parti du Premier ministre Abe, qui en a pourtant fait un argument politique, on arrive à une proportion de 1 sur 12 candidats.