Souvent concurrencées par des konbini, ces supérettes ouvertes 7 jours sur 7 et 24 h sur 24, les petites boutiques de quartier ont bien du mal à survivre dans les grandes métropoles, en particulier dans le centre. Dans les quartiers périphériques, notamment ceux situés à l’est de la capitale, il en reste encore quelques-uns. Mais ils fermeront faute de repreneur le jour où le propriétaire déjà âgé cessera ses activités.