Conscient que le pays ne pourra pas uniquement compter sur les entreprises nationales pour accroître sa production de semi-conducteurs, le gouvernement essaye d’attirer des sociétés étrangères par des incitations financières. Sachant que le Japon importe plus de 60 % de ses semi-conducteurs, il a déjà mis sur pied un fonds de plus de 1,8 milliards de dollars pour promouvoir cette industrie. D’autres sommes devraient être ajoutées.