La question des ressortissants japonais enlevés par la Corée du Nord reste aujourd’hui un sujet de mobilisation pour les familles qui n’ont pas obtenu leur retour. Si l’histoire de Yokota Megumi, enlevée à l’âge de 13 ans en novembre 1977, est la plus représentative, d’autres cas continuent de susciter des manifestations. Masumoto Teruaki, frère de Rumiko disparue en 1978, poursuit le combat pour obtenir le soutien de la population et des autorités.