Avec le retour massif des touristes, on assiste à l’arrivée des taxis illégaux. Connus sous le nom de « shirotaku » (taxis blancs) en raison de leur plaque d’immatriculation blanche alors que celle des taxis est verte, ils représentent un casse-tête pour les autorités et les compagnies de taxis dans la mesure où ce type de service ne peut être proposé que par des entreprises patentées.