La réussite de la politique de relance menée par le Premier ministre Abe conduit ce dernier vers des sommets de popularité (65 % de bonnes opinions). Une situation qui semble agacer le maire d’Ôsaka. Ayant besoin de se faire entendre, il a déclaré que les femmes de réconfort pendant la Seconde guerre mondiale étaient indispensables. Résultat : 75 % des Japonais estiment qu’il est allé trop loin.
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