Voilà peut-être le roman que le Premier ministre Abe Shinzô déteste. Lui, qui voudrait voir toutes les femmes travailler et avoir un plan de carrière, n’a pas dû apprécier l’histoire de Fuyuko, cette femme qui refuse ce destin. Introvertie, elle vit seule et n’a pas connu l’amour. Une fois de plus Kawakami Mieko livre un magnifique roman dans lequel elle explore la psychologie des femmes avec une force poétique et une rare profondeur. Un bel et nouvel exemple de la richesse littéraire japonaise.
A lire aussi
Dans l’ombre des théiers…
22 septembre 2016
La société civile donne de la voix
1 mai 2012
La métamorphose
1 septembre 2013