Il arrive au personnel de la compagnie de bus Tôkyû comme les autres salariés japonais d’être mécontents et de se sentir obligés de manifester. Mais ce n’est pas tant le nombre de personnes qui descendent dans la rue qui importe que le simple fait de dire haut et fort son mécontentement. Avec des drapeaux aussi imposants, il est d’ailleurs bien difficile de ne pas y prêter attention.
A lire aussi
La Seine vue par les artistes japonais
1 octobre 2010
Mes chers voisins
1 juin 2015
Magie ferroviaire à Kyûshû
1 novembre 2013