Certains pourraient être tentés de résumer le cinéma de Yamada Yôji à des œuvres simplistes. Ils auraient évidemment tort, car ses films ont pour ambition de donner aux spectateurs des raisons de croire au bonheur, malgré les difficultés et les contraintes liées aux bouleversements économiques. Mais plutôt que d’offrir des réponses illusoires, il propose une réflexion profonde.
A lire aussi
Hara Keiichi : “Miss Hokusai rappelle une époque belle, douce et folle”
1 septembre 2015
La fin d’un symbole
1 septembre 2010
Kurosawa, monsieur Cinéma
1 mai 2013