Pour le patron français de la plateforme d’échange nippone de bitcoins Mt Gox, les jugements se ressemblent. Le 11 juin, La Haute Cour japonaise a confirmé qu’il était “coupable de manipulation de données électroniques mais pas de détournement de fonds”. En 2019, il avait été condamné à deux ans et six mois de prison avec un sursis de quatre ans. Mauvais point pour celui qui souhaite faire reconnaître son innocence.