L’empereur Hirohito, qui a régné pendant la Seconde Guerre mondiale, voulait exprimer ses remords dès 1952, mais Yoshida Shigeru alors Premier ministre l’en a empêché. Mécontent de cette décision, il a dû respecter la Constitution de 1947 qui donne le dernier mot au Premier ministre. En vertu de ce texte, il n’est que le symbole de l’Etat et doit donc se plier aux choix gouvernementaux.