Pour la première fois, le gouvernement a reconnu que la leucémie d’un des artisans de l’opération de sécurisation menée dans la centrale de Fukushima Dai-ichi était due aux radiations supportées sur le site, a annoncé le ministère de la Santé. Par le passé, plusieurs dossiers d’anciens ouvriers avaient été écartés par les services de l’Etat. Cette reconnaissance marque un tournant pour les personnes ayant travaillé sur le site contaminé.