Le Japon a annoncé qu’il investirait un montant initial de 70 milliards de yens (480 millions d’euros) dans une société de semi-conducteurs dirigée par des entreprises, dont Sony et NEC, alors qu’il s’efforce de se réaffirmer en tant que fabricant de puces de pointe. La nouvelle entité s’appellera Rapidus et devrait commencer sa production dans la seconde moitié de la décennie.