Mis en cause dans plusieurs affaires et incapable de convaincre l’opinion publique de sa bonne foi, Abe Shinzô voit sa cote de popularité dégringoler dans les sondages. Selon certaines études, celle-ci serait passée sous la barre des 30 %, son plus bas niveau depuis son retour à la tête du pays fin 2012. Certains envisagent avec sérieux sa prochaine démission d’ici la fin de la session parlementaire en juin.