Plus que tout autre pays dans le monde, le Japon a besoin de lieux, comme ce sanctuaire dédié à la fertilité, pour dynamiser une natalité en berne depuis près de trois décennies. Les événements de 2020 ne devraient pas améliorer la tendance. Alors que le chaos lié à la pandémie de coronavirus provoque une montée en flèche du chômage, les sombres perspectives économiques des personnes en âge de travailler font craindre que le taux de natalité déjà faible puisse encore baisser, aggravant ainsi la crise de vieillissement du pays.