Il y a 6 ans, la romancière Murata Sayaka nous avait ravi avec La Fille de la supérette (Folio, 2019) où elle décrivait la vie d’une employée d’un de ces milliers de konbini présents au Japon. Dans son petit essai intitulé La Vie Konbini, Jérôme Schmidt va plus loin et explore à travers plusieurs récits le rôle de ces supérettes dans le quotidien des Japonais. Loin d’être seulement des boutiques pratiques, elles révèlent beaucoup du Japon contemporain.
La Vie konbini, de Jérôme Schmidt, Les Arènes – Komon, 2024, 15 €.