“Etes-vous sûr de vouloir étudier le français ?” semble vouloir demander cette paire d’yeux qui regarde fixement le client venu traîner dans le rayon langue française de cette librairie tokyoïte. Des dictionnaires bien sûr, mais aussi quelques livres de conversation. “Le français au marché”, “le français en se promenant”, “le français au café” ou encore “le français du boulanger”. Tout un programme que ces yeux n’ont pas l’air d’apprécier.
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