Bien qu’il soit encore l’un des auteurs les plus lus au Japon près de 30 ans après sa disparition, Matsumoto Seichô ne bénéficie pas d’une attention suffisante de la part des éditeurs français. Aussi doit-on saluer Atelier Akatombo de mettre à disposition Le point zéro paru il y a tout juste 60 ans. Une histoire de disparitions dans l’intrigante région de la péninsule de Noto, au nord de Kanazawa. Ce roman permet de plonger dans l’atmosphère du Japon de la fin des années 1950.
Le Point zéro (Zero no shôten), de Matsumoto Seichô, trad. par Dominique et Frank Sylvain, éd. Atelier Akatombo, 18 €.