Sur la route qui mène à Fukushima, un panneau à l’effigie du Premier ministre Noda et sa formation politique, le Parti démocrate, annonce : “Sans renaissance de la préfecture de Fukushima, pas de renaissance du Japon”. Un message qui laisse de marbre la population de Minami-Sôma. La ville a souffert du séisme et du tsunami, mais surtout sa partie sud appartient à la zone d’exclusion des 20 km autour de la centrale de Fukushima Dai-ichi.
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